Vous consultez ce site pour vous-même ou une personne de votre entourage à propos d’une souffrance, d’un questionnement, d’un désir de changement… Vous cherchez à en savoir plus sur les raisons de se faire accompagner et sur la personne susceptible de le faire. Le contenu de cette page vous permettra d’y voir plus clair.
C’est aussi pour moi l’occasion de souligner l’importance de notre engagement mutuel. La psychothérapie comme la consultation de soutien psychologique ou de résolution ponctuelle d’une difficulté émanent d’une co-construction. Le thérapeute ne peut rien sans le patient qui lui-même, s’il consulte, ressent le besoin d’une aide pour se remettre en route.
Faisons connaissance
Faisons connaissance
Je suis psychologue clinicienne mais aussi mère de 4 jeunes adultes, compagne, sœur, fille!
Je crois que la vie c’est le mouvement et que:
“L’art de vivre est un art de navigation difficile entre raison et passion, sagesse et folie, prose et poésie, avec toujours le risque de se pétrifier dans la raison ou de chavirer dans la folie.” E. Morin
Je crois aussi que:
“La vie c’est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l’équilibre” (A. Einstein)
et que “l’échec n’est pas de tomber mais de rester là où on est tombé” (Platon)
Formation initiale
Formation initiale
Avec une formation initiale en économie et ressources humaines, j’ai travaillé pendant près de 10 ans en entreprise dans le conseil en reclassement de personnels principalement dans l’accompagnement des plans sociaux. Cette pratique de la relation d’aide m’a confrontée à des adultes plongés dans une situation de déstabilisation non seulement professionnelle mais aussi personnelle. Désireuse d’approfondir la dimension psychologique de l’accompagnement, j’ai décidé de donner une nouvelle orientation à ma pratique professionnelle.
Formation en psychologie
Formation en psychologie
J’ai donc repris le chemin de l’université et reçu une formation d’orientation psychanalytique à la faculté de Nanterre associée à différents stages pratiques en psychiatrie hospitalière.
Une année de diplôme universitaire en psychopathologie périnatale (faculté de médecine Xavier Bichat) et un stage au service des grossesses à hauts risques et suites de couche (centre hospitalier de Poissy/Saint Germain) m’ont ouvert le vaste champ de l’accès à la parentalité.
Une pratique intégrative
Une pratique intégrative
Après quelques années de pratique en libéral, je décide de compléter ma formation et m’oriente vers les psychothérapies orientées “solution”. Psychologie positive, Hypnose, méditation pleine conscience, approche narrative sont quelques-uns des outils qui me font quitter (sans la renier) la psychanalyse et son orientation “problème”.
Par ailleurs, je ne crois pas en l’universalité d’une seule approche psychothérapeutique. Les troubles naissent de la mise en place, inconsciente et plus ou moins précoce de pensées, croyances, comportements dysfonctionnels. La thérapie vise à les faire émerger dans la conscience. Pour cela les possibilités sont multiples et passent par l’écoute active, la parole, et la médiation corporelle. Je crois enfin que le choix de la “bonne” approche dépend avant tout de la personne concernée par le changement à mettre en oeuvre.
Une pratique dédiée à l'adulte
Une pratique dédiée à l'adulte
C’est la relation d’aide auprès des salariés en entreprise qui m’a conduite à la psychologie, aussi j’ai fait le choix de continuer à m’adresser exclusivement à la personne adulte dans ma pratique libérale. J’accompagne individuellement des personnes qui traversent des zones de turbulences (souffrance au travail, burn out, difficultés relationnelles et affectives, séparation, deuil, maladie…) ou qui souhaitent acquérir de nouveaux modes d’être dans la relation à soi, aux autres et au monde (stress, confiance en soi, régulation des émotions…).
Une pratique intégrative
Une pratique intégrative
Après quelques années de pratique en libéral, je décide de compléter ma formation et m’oriente vers les psychothérapies orientées “solution”. Psychologie positive, Hypnose, méditation pleine conscience, approche narrative sont quelques-unes des approches qui me font quitter (sans la renier) la psychanalyse et son orientation “problème”.
Par ailleurs, je ne crois pas en l’universalité d’une seule approche psychothérapeutique. Les troubles naissent de la mise en place, inconsciente et plus ou moins précoce de pensées, croyances, comportements dysfonctionnels. La thérapie vise à les faire émerger dans la conscience. Pour cela, les possibilités sont multiples et passent par l’écoute active, la parole, la médiation corporelle et la relation. Je crois enfin que le choix de la “bonne” approche dépend avant tout de la personne concernée par le changement à mettre en œuvre.
L’offre est abondante et prend de multiples visages. Je vous encourage à prendre le temps d’identifier votre besoin : libérer votre parole dans un lieu neutre, parler de votre actualité, de votre passé? bénéficier d’une écoute interactive? d’une médiation corporelle … ?
Au delà du type d’approche utilisée par le thérapeute, le contact qui s’établit entre lui et vous est essentiel. En effet, si l’on en croit “le dodo verdict” définit par l’Américain Paul Rosensweig (et confirmé par de nombreuses études), aucune thérapie ne peut prétendre à une efficacité supérieure en toutes circonstances. C’est la qualité de la relation qui s’établit entre le thérapeute et son patient qui est déterminante. Ce que l’on appelle en jargon psychologique, l’alliance thérapeutique.
C’est donc la rencontre avec le thérapeute qui, in fine, permettra de valider le choix du “bon” thérapeute pour vous. J’insisterai si l’on vient à se rencontrer sur l’importance de vous sentir libre de la poursuite des séances en fonction de ce que vous y trouverez comme aide. La communication sur la façon dont nos échanges se déroulent, la façon dont ils vous permettent de “faire quelque chose” de l’aide qui vous est proposée est un élément essentiel de la relation thérapeutique.
La personne qui consulte peut avoir différentes intentions qui correspondent à différentes attitudes. Le thérapeute va s’ajuster et offrir en retour la posture thérapeutique qui lui semble la plus adéquate. Les résultats à attendre du travail thérapeutique varient selon chacune de ces attitudes. Les connaître peut vous permettre de clarifier votre demande et l’expression de vos attentes dans la démarche de consultation que vous vous apprêtez à faire.
Le “visiteur” consulte pour répondre à une question ponctuelle par rapport à une difficulté du moment. Cela peut être également pour satisfaire la demande d’un autre (conjoint, médecin…). Il n’est pas évident qu’il ait à changer quoi que ce soit. Il s’agit plutôt de recueillir un avis extérieur ou de rassurer un tiers demandeur.
Le “client” est demandeur d’un changement et prêt à se saisir des propositions, suggestions qui lui seront faites et qui viendront nourrir une réflexion déjà en route. Il est acteur de la démarche et en route pour atteindre ses objectifs. Le thérapeute est un accélérateur, un catalyseur du changement.
le “plaignant” déplore d’avoir déjà tenté beaucoup de choses sans résultat. Il a perdu (ou n’a pas trouvé) la foi en une évolution possible. Il a avant tout besoin d’être entendu (y compris par lui-même) dans ce vécu d’impuissance.
Il est possible de se reconnaitre dans chacune de ces trois postures en fonction du moment ou des circonstances.
Consulter permet de sortir du huit clos avec soi-même, le temps d’une ou plusieurs rencontres avec un professionnel de l’écoute, le temps de se remettre en route. On consulte quand on se sent bloqué, que l’on n’avance plus.
La vie implique le mouvement ce qui nous confronte à des changements permanents. Ces derniers nous déstabilisent et sollicitent nos capacités d’adaptation. Le rejet, la colère, la tristesse, le sentiment d’impuissance sont quelques-unes des émotions “normales” qui nous signalent qu’il va falloir s’ajuster. Il est important de les autoriser à être là comme faisant partie intégrante du processus de changement. A chacun son rythme, sa temporalité! L’important est de pouvoir, le moment venu et parfois avec l’aide d’un tiers, se remettre en route.
La fréquence et le nombre de séances dépendront de votre besoin, du temps et du budget que vous pouvez y consacrer, de la façon dont nous allons pouvoir élaborer des solutions, ensemble, dans une approche co-constructive. Vous restez bien entendu maitre à tout moment de la poursuite ou de l’arrêt des séances. Je vous encourage non seulement à en questionner la pertinence pour vous au fil de nos rencontres mais aussi à m’indiquer le fruit de votre réflexion de façon à ce que je puisse, dans la mesure du possible, ajuster mon écoute et ma proposition thérapeutique.
Un séance individuelle dure 45 minutes et coûte à ce jour 70 euros. Le règlement peut se faire par chèque ou espèce à votre convenance (carte bancaire non acceptée).
Il n’y a pas de remboursement sécurité sociale mais certaines mutuelles proposent une prise en charge partielle ou totale d’un certain nombre de séances. Le cas échéant, je vous remets une facture.
Pour les séances, deux options possibles :
Au cabinet
Au cabinet
Ci-dessus une photographie de l’espace dans lequel je vous reçois.
Je l’ai souhaité aussi convivial et chaleureux que possible.
Dans le contexte sanitaire actuel, il permet la mise en place des mesures barrières tout en préservant la qualité audio-visuelle de la relation.
À distance
À distance
Le contexte sanitaire actuel, un déplacement professionnel ou tout autre raison peut conduire à la nécessité de mettre en place des séances à distance. Si vous le souhaitez et que c’est suffisamment confortable pour vous, je peux vous proposer de la téléconsultation via la plateforme ZOOM.
Au cabinet
Au cabinet
Ci-contre une photographie de l’espace dans lequel je vous reçois.
Je l’ai souhaité aussi convivial et chaleureux que possible.
Dans le contexte sanitaire actuel, il permet la mise en place des mesures barrières tout en préservant la qualité audio-visuelle de la relation.
À distance
À distance
Le contexte sanitaire actuel, un déplacement professionnel ou tout autre raison peut conduire à la nécessité de mettre en place des séances à distance. Si vous le souhaitez et que c’est suffisamment confortable pour vous, je peux vous proposer de la téléconsultation via la plateforme ZOOM.
A l’issue du premier rendez-vous, vous décidez de l’opportunité de reprendre rendez-vous en fonction de la nature de votre demande et/ou de la qualité du contact qui s’est établi entre nous.
